Ripaille et fête d’âpres allégeance

la bienvenu à tous et toutes c'est bien ici !

Cérémonie terminée, l'Etoile se recule afin de laisser les uns et les autres congratuler le nouveau Seigneur. Ce jour est le sien et il doit en avoir tous les éloges. Ainsi elle regarde les uns et les autres se presser autour du Seigneur de Clansayes . Un petit soupir, une bonne chose de faite. Elle vint près de son amie Nyna sur la joue de laquelle elle déposa une douce bise.

Cela me fait plaisir de te revoir tu sais ? Cela fait un moment ... un trop long moment. Que fais tu en dehors de tes obligations de Dauphiné?

Un petit sourire et un bras qui se glisse sous le sien afin de l'emmener profiter des différentes petites choses mises à leur disposition. Il a fait cela en grand Tutule et son sourire se fait amusé.
Elle regarde chacun, Anne de Culan qu'elle avait croisée à maintes reprises, quelques soldats qu'elle avait pu côtoyer lors de ses séjours en l'Ost et son dernier impétrant .... D'ailleurs il lui faudrait lui demander si cette fameuse nuit n'avait point laisser trop de traces . Petit pincement des lèvres avant qu'un plateau ne surgisse dans son champ de vision.
Puis elle cherche du regard sa vassale,amie, soeur comme il convenait de l'appeler en différents endroits. Il faut qu'elle l'entretienne d'un problème important .... mais après la petite fête en l'honneur de Rotule .

voila enfin le moment des festivités venue , le moment le plus attendu , hé hé . ne sachant pas ou mily et passé , et continuant son chemin ce rapprochant du buffet et des boissons , il apercoit fraise au loin dont il appréciait et connaissait bien , ils ce rapproche d'elle , il lui avait parlé de cette invitation , mais elle n'avait pas pu venir avant , il ce dirige vers elle pour aller la salué .

bonjour fraise , content de te voir ici , tu est magnifique .
tu arrive après pour boire un verre , hé hé , ta passé les formalité toi .

attendant sa réponse il ce rapproche de la table saluant dame antlia en passant , il n'avait pas pu la voir avant ...

En retard... Pour changer, en retard !
Oui mais là mais non...
Ben pourtant si, il l'était...

Endimanché du mieux qu'il le pouvait, il avait erré des heures, des jours, des semaines durant à la recherche du domaine.
Comment ça j'exagère ?
Bon, d'accord, il s'était prélassé dans son lit en oubliant l'heure qui avançait et évidement, il était en RETARD !!!
Donc, bon, d'accord, il savait que la cérémonie, il pouvait l'oublier, mettre une croix dessus, elle devait déjà être terminée, mais par contre le bal avec Larentina, tiens même qu'on lui aurai coupé une jambe, lacé ses chaussures ensemble qu'il ne l'aurai pas manqué pour un empire...

Oui, mais... Car il faut un mais, dans toutes les histoires, sinon y a rien de drole, de prennant...
Mais arrivé devant le grand portail, il en avait l'air, mais le dire à quoi bon...

Ben oui, quand on voit l'étendue des jardins, c'est à se demander où se cache la demeure , à moins de vivre à même l'herbe, il avait du mal à la voir, la deviner.

Aussi quand au loin il aperçu une déesse arriver d'un pas décidé, il enfut presque soulagé, et puis, au fur et à mesure que la silhouette se rapprochait, il la devinait, et ne put s'empecher de sourire...

Oui, c'était elle, bien elle, celle pour qui il était là avant toute chose, sa belle rien qu'à lui, celle qui se disait indomptable, celle qui criait haut et fort ne pas supporter les amoureux et qui à présent avait grand plaisir à venir se lover dans ses bras...
Sa seule, sa tendre, son unique amour, Larentina.

Il s'avança dans les jardins, et comme elle n'aait pas l'air de l'avoir vu, il s'approcha.

C'est l'homme de votre vie que vous cherchez gente damoiselle ?
Si cet ignoble individu vous a fait faux bond, je veux bien le remplacer sur le champ !

Il lui souriait, espérant au moins un baiser...

Alors qu’il était à discuter avec un grand nombre d’invités et amis venus de tous lieux, la main posée au pommeau de sa claymore, il regardait senestre le soleil tombant, sur les tentures dressées pour l’assemblée le temps de la cérémonie d’allégeance, et dû s’excuser de nombreuses fois pour réussir à rejoindre son épouse, qui elle aussi entourée de bon nombre d’amis caressait son ventre tout en restant assise…

Quand enfin il put venir à ses cotés, il l’aida en lui tendant son bras à se relever de son assise, et l’accompagna rejoindre leur appartement situé à l’étage du château, afin qu’elle puisse s’étendre un peu pour calmer les ardeurs de leur bibou qui ne ménageait pas sa moman à gesticuler sans cesse…

L’affreux attendit qu’une servante arrive avec la tisane médicinale que les médicastres avaient prescrit pour calmer les ardeurs du petiot, et quand son cœur eut finit et qu’il s’assura qu'elle était confortablement allongée et caller de toute part avec un tas de moelleux coussins, il l’embrassa avec amour et resta un instant son regard plongé au sien, lui montrant son amour, tout en se disant que maintenant, que sa famille avait une seigneurie que par cela ses amours seraient à l’abri du besoin, que c’est plus sereinement qu’il rejoindrait le tout puissant le jour ou le temps de Tule serait venu…

Déposant sa main par réflexe sur le gros ventre de huit mois de grossesse, puis relevant du bout des doigts une mèche ambrée du front de son épouse, il lui sourit et lui dit…

A plus tard mon cœur, profite du calme et de la fraicheur de notre chambre pour te reposer un peu avant de venir nous rejoindre...

Puis descendant les escaliers, il comptait mentalement le nombre de jours restant approximativement pour l’accouchement, quand arrivant à l’entrée, il releva un sourcil en apercevant fillote Larentina courir prestement dans le jardin… Bigre ! Ou court-elle ainsi ? S’en interrogea à voix haute le Baccard…

Arrivant dans le Salon de réception, il redressa les épaules tout en marchant d’un pas sur et d’une voix forte lança à l’audience…

Qu’alcools coulent à foison, que choppes se choquent et que l’ivresse nous gagne !

Puis Aliena s’avança à lui et s’excusa d’être arrivée tardivement, mettant cela sur le compte de l’adorable petite fille qu’elle tenait contre elle.. la petite Alix Alcidie..

Je n’en suis aucunement froissé Aliena, et soit la bienvenue et merci de ta présence pour festoyer en terre de Clansayes, as-tu retrouver ton homme, il me semble l’avoir aperçu proche de ma Marraine Anne Blanche tout à l’heure dans les jardins…

Laissant la Dame de Lambre et de Cusy rejoindre son époux il se retrouva de nouveau entouré de ses amis…

Armé d'une coupe métallique, le valentinois évoluait entre les tables, prenait d'assaut les mets disposés sur le buffet et retournait, glorieux, auprès des fût pour fêter sa victoire en savourant un vin rouge légèrement piquant mais plutôt agréable.
Bientôt, il voulut aller féliciter son ami mais les invités s'amassaient autour de lui tant et si bien qu'il dut remettre son projet à plus tard... Résigné, Alan s'assit autour d'une table. Là, il fut témoin d'un échange qui l'intrigua et l'amusa :

... t'ai dis que mon époux avait travailler ici ? Si, si j't'assure !! Tu vois les tentures ? Non pas les teintures !! Tout le monde sait qu'il est roux de toutes manière... Sa mère est brune et son père a les cheveux noir ébène, a qui ils croient la faire ? Bref, les tentures là... à côté de la porte... Bon, bah c'est pas mon époux mais c'est son associé qui les cousues à l'atelier de mon Pierre !! Bien sur qu'c'est vrai !! Alors j'peux t'dire, le Sire de la maison et mon Pierre, sont copains comme cochons !!

Alan jeta un coup d'oeil au Tul avec un léger sourire. Cela aurait pu être mais la dame semblait plus vantarde qu'autre chose. Il se retourna donc pour tomber sur une autre conversation... Un homme à l'allure de bûcheron s'entretenait avec un plus malingre.

...J'te dis qu'il faut lui en parler, c'est lui l'nouveau Seigneur... C'est lui qui va gérer ça maint'nant... Si ta Mathilde, elle dit qu'le moulin tombe en ruine, c'est aujourd'hui qu'il faut prévenir, il est prêt à t'écouter !

Beh pourquoi qu'tu vas pas lui dire toi alors hein ?, s'enquit le malingre sur un ton suspicieux.

Hein ? Mais non, mais c'est à toi d'lui dire j'te dis... Moi je... Je...

... Tu veux pas apporter les mauvaises nouvelles... Tu préfère me laisser faire hein ?

Mais pas du tout !, s'exclama le premier sur un ton faussement indigné. Tu est mon frère ainé, pourquoi voudrais-je qu'il t'arrive malheur ? C'est pour te rendr...

Le Talleyrand n'écouta pas plus encore et se retourna. Clansayes semblait regorger de vie et de gens en tout genre. Le Tul semblait avoir invité ses futurs métayers et quelques bourgeois des environs. Il finit son verre d'une traite, le reposa fermement et se releva d'un bond. A cet instant, il faillit renverser un plateau qui arrivait d'on ne sait où. Cherchant réponse au mystère de cette provenance, le Talleyrand croisa le regard de la Baronne de Grignan, quelques mètres plus loin. Un instant s'écoula pendant lequel Alan ne réagit pas, comme absent... Puis, un léger sourire vint créer une fossette dissimulée par sa barbe. Il inclina légèrement la tête, en guise de salutations. il aurait voulu s'avancer, tous deux avaient sûrement bien des choses à se raconter mais un nouveau plateau déboula et le valet de le pousser doucement pour lui faire comprendre qu'il gênait... Alan recula et tomba dos à dos avec le Sire de Clansayes. Etonné puis ravi, il se retourna avant de donner à son frère d'arme une franche accolade.

Mes félicitations, Sire de Clansayes, c'est bien plus que tu ne mérites mais il fallait y penser quand même ! Le Talleyrand partit dans un éclat de rire avant de se reprendre. Bon trêve de plaisanteries, tu as bien mérité ça Rotule, Si j'avais encore ma coupe, je l'aurai levé pour le Maistre-Armurier visionnaire de notre Ost.

Un coup d'œil à gauche lui fit repérer la femme du drapier avec une coupe dans les mains. Il s'excusa auprès du nouveau Sire et partit en un instant chercher cette coupe en s'expliquant ainsi :

Pardon, Ma Dame, mais la situation l'exige... Il se saisit du gobelet sans attendre de réaction et revint auprès du Tul.

A Toi, mon ami, a ton épouse et à ton enfant qui va naitre, je te souhaite assez. Je te souhaite assez de soleil pour maintenir ton attitude lumineuse peu importe que la journée soit grise et moche.
Je te souhaite assez de pluie pour apprécier le soleil encore plus. Je te souhaite assez de bonheur pour maintenir ton esprit vivant et éternel. Je te souhaite assez de douleur de sorte que même la plus petite des joies dans la vie puisse te sembler grande. Je te souhaite assez de gain pour satisfaire tes besoins. Je te souhaite assez de perte pour apprécier tout ce que tu possèdes.
Les deux gobelet s'entrechoquèrent dans un grand fracas et le Talleyrand de regarder avec une forme d'admiration son jeune ami.

Sursaut de la jeune femme qui... Ne cria pas ! Vous y avez cru n'est-ce pas ?! Ben c'est raté !
Seul son cœur battait à tout rompre. En même temps comment pouvait-il en être autrement ? Entre la surprise et cette voix...
Elle lui fit face, essayant de paraitre remonter contre lui ! D'un parce qu'il avait mit un temps fou a arriver et de deux parce qu'il lui avait fait peur !

"Oué ben t'peux toujours faire la nenette en colère ma vieille tu n'est même pas crédible suffit de voir cette lueur de tendresse dans tes yeux !"

Aller c'est repartit voilà bien longtemps qu'elle ne l'avait pas entendu celle là ! Pas possible qu'elle apparaisse comme cela par surprise elle qui avait espérait ne plus jamais l'entendre... "Oué ben la ma cocotte, dans tes rêves !"
Préférant ignorer cette petit voix, elle fronça les sourcils avant d'ouvrir la bouche.

L'homme de ma vie ? "Ne lui saute surtout pas dans les bras... " Elle n'en avait pas l'intention, du moins pas tout de suite mais ce n'était pas l'envie qui lui manqué ! Elle se contenta de prendre un petit air presque hautain en tendant légèrement une main devant elle pour contempler ses ongles avant de reprendre la parole. Ce qui est certain c'est que lui, il ne m'aurait pas fait peur voyez ! Elle jeta un rapide regard dans sa direction avant de reprendre la contemplation de ses mains !
Elle eu le temps de remarqué son sourire, c'est qu'il devait trouver la scène plutôt amusante ! Elle savait qu'il attendait qu'elle le rejoigne, qu'elle l'embrasse, mais non !
Pourquoi ? Bien il lui avait fait peur ! Elle avait presque cru qu'il ne viendrait pas étant donné son retard... Alors... A lui de faire ce pas puis c'est tout !!

"Oué bien tu n'a pas fini d'attendre ma vieille... Quoi que..."

Après s'être entretenue avec quelques uns, elle restait là, en retrait comme à son habitude.
Dans son calme imperturbable, elle baignait d'un regard bienveillant ce qu'il se passait devant elle. Elle jouait cependant de ses doigts autour de la choppe. Ils se laçaient et se délaçaient de façon presque rythmique, peut être afin qu'elle ne sombre pas en ses noires pensées, ces mouvements la maintenaient avec les invités.
Il est vrai que cet ancien Capitaine de l'Ost, ce Chevalier Errant était toujours prête à partir.... et cela commençait à ronger ce qu'il lui restait de sociable.
Même dans les campements Licorneux, elle préférait l'ombre d'un chêne bienveillant au tumulte des retrouvailles et différentes réunions dites plaisantes.
Un restant de sauvageonne... et des restes des évènements du passé .

Son sourire pourtant ne la quittait guère, parfois un peu timide, parfois plus franc comme celui qu'elle adressa au soldat Alan lorsqu'il lui fit signe de tête. Elle fit de même et son geste resta suspendu alors que le regard de l'homme semblait la traverser .... une sensation bizarre en fait que celle ci ...
Oui, il faudra qu'elle se dépêche de lui demander nouvelle .... UN mauvais souvenir en patrouille pouvait laisser des traces et cela pouvait faire office d'obstacle dans sa vie future de soldat... Il ne fallait pas.
Et c'est d'un mouvement que l'Etoile s'avança oubliant fort à propos qu'elle portait ce jour une robe !
Et c'est un pas qui trébuche, s’empêtrant dans le tissu de celle ci alors que le bras d'un brave homme la secoure .
Tac au tac elle grommelle, tirant sur le tissu de cette robe qu'elle a du mal à manœuvrer et des sinoples qui se lèvent sur le bonhomme un peu embarrassé d'avoir tel fardeau dans les bras .

Je te remercie bien. Sans ton secours je me serais trouvée dans bien fâcheuse posture.
Bon, le ton de l'Etoile se voulait rassurant, le sourire bienveillant. Après tout, ce n'était pas la faute de cet homme se trouvant sur son chemin.
Alors prenant a deux mains les pans de la robe, gardant toute dignité cependant, elle s'avança vers Rotule et le soldat Alan et prit une autre choppe afin de remplacer celle tombée dans la chute afin de trinquer.
Et une voix derrière les deux hommes se leva:

au Seigneur de Clansayez. Fasse qu'il puisse supporter les frasques de sa Suzeraine les années venant.
Un petit rire se leva et elle tendit sa choppe vers eux .

L'homme de ma vie ?
Ce qui est certain c'est que lui, il ne m'aurait pas fait peur voyez !

Ah, la voila qui faisait la "pas contente", mais il commençait à bien la connaître et le petit côté ronchon de sa belle, ne lui faisait plus autant peur qu'à leurs débuts.
Oh car oui, elle savait bien le faire le côté bougon, le coté "l'amour, trop peu pour moi", ce coté qui peut effrayer, mais qui en fait, quand on la connaissait mieux, n'était qu'une défense de façade afin de protéger le coeur énorme qu'elle cachait et que lui, connaissait à présent. Ce coeur qu'il aimait plus que tout.

Oh, je vous ai effayé ?
Mince, pas assez alors, j'espérais que vous vous évaouissiez afin que je puisse prodiguer sur vos levres douces et charnues un doux baiser passionné qui aurait, tout au moins je l'espère, fait l'effet d'un baiser de prince charmant à sa princesse.

Un petit sourire, et il prit sa main dans la sienne.

Vous m'avez terriblement manqué mon amour. et je suis ravi de vous retrouver ici, même si franchement, je me suis un peu perdu pour arriver jusqu'ici.
Pas bien indiqué la demeure, non ? Ou il faut connaître.

Il alla déposer ses lèvres sur les siennes, faisant fi de ce qui les entourait.
Quand on aime, on ne calcule pas, et il se fichait bien du qu'en dira-t-on, sa vie c'était elle, et il ne le cachait à personne.
la seule fois qu'il l'avait caché, pour elle, il en avait été bon pour un coup de fouet, alors, depuis, il ne se cachait de rien !

Alors, la cérémonie s'est bien déroulée, Rotule est fier comme un paon avec sa couronne sur la tête ?

Il la regardait, simplement heureux.

Bon, si vous alliez me présenter tout ce monde, pis je vous avouerai que je voudrai bien aller féliciter le nouveau seigneur.

Se grattant la tête il la regarda avec un grand sourire.

Honnêtement, je vous dirai qu'avant tout j'ai un peu soif, pas vous ?

Puis ne la lachant pas, ils partirent en direction de la demeure, au loin il entendait le bruit des discussions, des verres qui s'entrechoquaient...
Mais plus il approchait, plus son coeur battait fort, et pas qu'à cause de la douce à qui il tennait la main, mais il devait s'entretenir avec Rotule, après tout, c'était bien lui qui un jour, apprenant son retour vers Dié, lui avait adréssé un courrier lui demandant de rendre sa niéce heureuse.
A présent, c'était à lui de lui demander quelque chose, et pas des moindres....

Alors que l’Affreux trinquait et riait avec son ami et compagnon d’Armes Alan, l’homme aux verbes aussi précis que ces coups d’estoques, et que ses mots firent sourire rotule qui dans un même temps, aperçu sans une légère grimace, l’arrivée rocambolesque de sa Suzeraine …

Puis, celle-ci toujours aussi enjouer, et pleine de taquinerie, lui parla avec gentillesse concernant ses frasques…

Alors qu’il resserra sa main sur l’épaule de l’Armurier Alan, il choqua son verre avec lui et l’Etoile …

Santé et bonheur ! Lança Tule tout en buvant légèrement pour ne pas être ivres trop vite sachant que d’autre viendraient porter félicitations, et de ce fait à nouveau boire…

Ma suzeraine Antlia ! Il me semble que vous connaissez mon Ami Alan ?

Nef essayait de se faire discrete. Elle avait eu du mal à suivre la cérémonie, le bébé n'aimait pas trop....
Elle avait décidé de faire une apparition au festin et de se sauver se reposer. Elle regardait tous ces gens qui mangeaient, buvaient. Elle regardait Julia qui semblait comme un poisson dans l'eau. Elle sourit en voyant son ventre s'arrondir. Puis elle regarde Tule qui a l'air heureux comme tout; Elle lui sourit de loin, le laissant avec des personnes qu'elle ne connait pas.
Nef aperçoit une chaise, prenant un verre de lait, elle va s'assoir et continue de regarder toutes ces personnes

Un vassal qui lisait en ses pensées , quoi de mieux en matière de dernières technologies? Oui mais là non, autant rêver: ce n'était qu'affaire de circonstances.
Alors qu'elle écoute Rotule

Citation :

Ma suzeraine Antlia ! Il me semble que vous connaissez mon Ami Alan ?

ses lèvres trempent dans le breuvage tandis que les sinoples se posent sur Alan. Se débarrassant alors de cette choppe auprès d'un serviteur, non vide je précise, elle répond de sa voix égale.

Bien sur que je me souviens. Comment oublier un des deux rescapés de mon instruction en l'Ost.
Petit sourire taquin à son habitude, elle leve la main vers Alan.
Je suis contente de vous revoir, en dehors de cette grande institution qu'est l'Ost. Je me demandais justement si .... comment vous vous portiez depuis notre fameuse nuit à la campagne?

Elle fit preuve de tact, sans en dévoiler plus à l' entourage.

Haussement d'un sourcil. Comment ça "pas assez" ? C'était déjà bien suffisant oui ! Elle qui n'avait peur de rien, du moins en temps normale parce que ces derniers jours, elle avait eu peur de se retrouver seule en taverne de Vienne ! 'Rêtre donc de penser a ça ma vieille elle n'est pas ici. En revanche garde bien précieusement l'idée d'ta moitié hein ! C'pourrait être amusant d'essayer un jour juste pour tester sa rapidité j'paris qu'tu s'ra par terre avant qu'il ne réagisse ton zigotto !

Il lui prit la main et la petite voix disparut dans un coin de son esprit en ronronnant lorsque qu'il vint l'embrasser. Bien entendu elle ne resta pas de glace. Elle ne lui dirait pas qu'il lui avait manqué aussi, qu'elle était ravie de le savoir enfin arrivée parce qu'elle se sentait étrangement vide quand il n'était pas là. Ce n'était pas vraiment son genre et elle n'avait pas besoin de lui dire pour qu'il le sache...

Parrain.... Fier !! Hmmm sans doute vous jugerez par vous même !! Pour elle Rotule resterait Rotule, avec ou sans couronne sur la tête il était quelqu'un de "fier" dans le bon sens du therme !

Bien il me sera difficile de vous présenter tout le monde ! Je ne connais que quelques personnes ! Petit sourire avant de plisser le nez en entendant son estomac recommencer a se plaindre. Soif... J'ai surtout très faim... Elle le regarde, une lueur amusée dans le regard alors qu'ils traversèrent le jardin.


Après quelques minutes ils se retrouvèrent au milieu d'une foule de personnes... La jeune femme se mit sur la pointe des pieds pour essayer de repérer quelques visage connus. Elle repéra Aliena qui se trouvait non loin... Du buffet et des boissons, forcément hein !!! Jusaoclu en pleine discutions avec une blondinette qu'elle... ne connaissait pas ! Nefertianne, assise, un verre de lait entre les mains, elle avait l'air... Fatiguée. Pas étonnant suffisait de voir son ventre ENOOOOOORME... A croire que le bambin ne voulait pas sortir de là !
Enfin elle vit son parrain entouré d'Alan et de Lady Antlia. Elle lui fit un grand signe de la main pour qu'il sache qu'elle était de retour avant de se tourner vers Lancelin...

Allons boire, manger un petit quelque chose je n'ai aucune envie d'aller les déranger ! Et elle l'entraina jusqu'au buffet. Se gênant pas pour pousser doucement les personne se trouvant sur leurs chemin... A quoi bon leur demander de se décalé ils étaient tous tellement prit par leurs discutions... Vous voyez la Dame blonde au coté de mon parrain ? C'est a cette Dame qu'il a prêté allégeance. L'homme avec eux ce nomme Alan, vous aurez sans doute l'occasion de le croisé a Valence !

Soupir de soulagement en arrivant devant tout ces mets, juste entre Aliena et Nefertianne, la noiraude s'empara d'une choppe qu'elle tendit offrit a Lancelin avec le sourire se retenant tant bien que mal de piocher dans un des plats !!!

Bonjour Nefer !! Bonjour Aliena ! Elle fit un petit sourire a l'enfant se trouvant dans les bras de cette dernière. Et bonjour Alix !
Comment allez vous ? Je vous présente Lancelin, ma tendre moitié. Elle sentit le rouge lui monter aux joues a ses mots. C'était bien la première fois qu'elle le présentait de cette façon et elle préféra s'emparer d'une nouvelle choppe qu'elle porta a ses lèvres.

un instant suspendu, l'Etoile eut une impression bizarre lorsqu'il lui prit la main pour la baiser. Un mouvement de tête sur le côté, certes un peu enfantin afin de regarder l'homme d'un autre regard que celui du soldat qu'elle était. Quelque chose qui en fait la dérangeait, la mettait mal à l'aise et lui rappelait son statut de ... femme.
Le baise main n'était pas conventionnel, les lèvres s'étaient appliquées sur sa peau .... avec douceur.
Sa gorge se serra mais elle ne retira pas sa main. Comme à son habitude, masque de façade et de sa gorge serrée elle pu répondre.

Je suis bien contente de vous savoir sans reste de cette rencontre malencontreuse.
Ses mains à présent réunies devant elle, se tortillaient comme à leur habitude, révélant parfois son état de gêne.
Elle avait redressé son port de tête et le regardait, remarquant des traits qui lui avaient échappée...

Veuillez m'appeler Antlia, Lady est pour mon père.
Cela faisait un long moment que je n'étais plus soldat de l'Ost. L'on avait fait appel à lmoi alors qu'il y avait un manque cruel d'Instructeurs. J'ai donc mis un terme à ma mission lorsque le nombre d'instructeurs fut convenable. Ma présence n'était pas définitive...
Puis un petit sourire...
Vous avez eu une formation d'une Licorneuse ...
Son sourire se fit taquin. Elle omit volontairement le fait qu'elle n'était plus Garde Noire et s'"éloigna de Rotule, laissant ses autres invités s'en approcher, invitant Alan à faire de même en le dardant de questions.

Que faites vous à présent en l'Ost? Avez vous pris quelques galons ou fonctions supplémentaires? Et.. j'ai appris que vous étiez Conseiller à p résent? Je vous en félicite !