la porte du chateau de Bourdeaux

Admin Messages : 54 Points : 94 Réputation : 1 Date d'inscription : 10/05/2009

bienvenue. visiteur, présentez vous ici.

Messages : 4 Points : 3 Réputation : -1 Date d'inscription : 24/08/2009

Clopin clopan Plume portait son cavalier légèrement vêtu une fois n'était pas coutume. Quel bonheur de ne pas l'avoir tout en armure par cette chaleur sur son dos. Elle espérait que chez le méridional il y aurait de l'orge, un Galloway lui avait dit que par chez lui l'orge y était abondant ...
Géro était songeur, se laissant porter par sa monture, les remparts étaient en vue et il n'avait toujours pas résolu son dilemme. Allait-il lui annoncer annoncer que l'embargo était levé ou lui amènerait-il le premier qui arriverait sur leur terre.
Le jeune homme flatta l'encolure de sa jument.

Aller ma toute belle nous sommes presque arrivé.

Ils parcoururent la distance qui les séparait du pont levis et s'arrêtèrent devant la herse baissé.

Ho la du château, faite dire que le seigneur du Glaizil et d'Anthon fait suite à l'invitation du Baron de Bourdeaux.

Messages : 1 Points : 1 Réputation : 0 Date d'inscription : 24/08/2009

La cérémonie de baptème de Nahona terminée, Ulan monta sur Frivolle et pris la direction de la Baronnie de Bourdeaux. Elle arriva au domaine de son ami Sam.
Ulan entra dans le domaine à grand galop soulevant un nuage de poussière. Elle arriva devant le pont levis et vit Géronimo. Elle descendit de sa jument et alla le saluer.
Ensemble, ils attendirent que quelqu'un vienne les accueillir.

Messages : 7 Points : 9 Réputation : 0 Date d'inscription : 24/08/2009

les gardes du castel de bourdeaux se tenaient devant le pont levis remonté. l'air pas commode, les deux bonshommes rectifièrent la position en voyant arriver, presque en meme temps, deux équipages de nobles personnages.

bien le bonjour en pays de bourdeaux nobles gens. soyez lez bienvenus.

ola : le jacquou ! ouvre donc les portes en grand comme nous l'a demandé m'sieur le baron. les invités commencent à arriver.

gente dame et beau seigneur. je vous prie de bien vouloir vous rendre en la grande salle, ou le baron vous attend.

Messages : 4 Points : 3 Réputation : -1 Date d'inscription : 24/08/2009

La dame de Monfort arriva les 4 fers de sa jument battant le pavé. Elle s'arrêta à sa hauteur et descendit de selle.

Bonjour Ulan, je ne crois pas avoir eu l'occasion de te saluer au baptême.

Il n'eut pas le temps d'aller plus en avant dans la conversation quand des voix se firent entendre et que l'on leur ouvrit les portes. Deux gardes au physique pas vraiment avantageux leur ouvrirent, à croire que l'écossais collectionné les difformes.
Ne sachant pas trop quoi faire de son cheval ni ou se trouvait les écuries. Il chercha un palefrenier dans la cours, n'en voyant point il s'adressa aux gardes.

Dites moi messieurs, où se trouve l'écurie ?

Messages : 13 Points : 14 Réputation : -1 Date d'inscription : 24/05/2009

Voya était venue à Cheval, elle n'avait pas encore son propre cheval ne trouvant pas ce qu'elle voulait, elle avait emprunté celui de Tristan.

Elle arriva tranquillement pour la fête du baptême de Nahona, Géro et Ulan étaient déjà là, elle avait vu Ulan avant et salua Géro.

Et bien nous y voilà, Ulan ravie de te retrouver, Seigneur de Glaizil bonjour.

Voya regarda le pont levis s'ouvrir et suivit ses amis.

Messages : 2 Points : 2 Réputation : 0 Date d'inscription : 02/07/2009

Une fois que Nahona c'etais fais arroser a l'Eglise Sainte Croix elle la quitta comme tout le monde et ce rendit a la Baronnie de Bourdeaux sur l'invitation directe du Baron. Elle n'avait point de cheval alors, elle fit le chemain a pieds avec cette horrible jupon, c'est a ce moment là qu'elle le maudit le plus je pense, elle avait mis des heures pour arriver, elle s'empetrer constament dans ce maudit jupon, elle etait tomber deux, trois fois, elle n'etais pas douer en jupon, pour elle qui avait toujours porter des braies a par la fois où elle avait mise pour la premiere fois un jupon c'etais a la ceremonie d'anoblissement de Plume.

La brune voyais non loin les remparts de la Baronnie alors elle se recoifa comme elle le pouvait et une fois arriver devant le pont levis elle reajusta son jupon, le depoussiera et entra dans la cour où elle y vit sa marraine et ne comprenais pas apres mure reflection pourquoi elle n'avait pas parler a l'Eglise, il y avait aussi Gero et Voya qui etais present alors Naho les bisouilla..

Bonjour Marraine, Voya, Gero..
Je suis contente de vous voir ici,
vous allez bien ?

La brune leur sourit et attendis..

la porte du chateau de Bourdeaux Bannirenahoproposition3

la porte du chateau de Bourdeaux Medail10

Messages : 7 Points : 9 Réputation : 0 Date d'inscription : 24/08/2009

les deux gardes s'affairaient sur le mécanisme des portes et invitaient les visiteurs à se mettre à l'aise et monter par l'escalier du donjon jusqu'à la grande salle, ou le baron les attendait. le grand maistre des lances du lyonnais dauphiné demanda à ce qu'on s'occupe de sa monture.

mais bin sur monseigneuuuur ! il sera fait comme vous le souhaitez. nous allons prendre grand soin de votre monture. et de celles de tous les invités. le palfrenier du domaine est à mi temps ici. il est aussi le palfrenier de la garnison de montélimar. peut etre l'avez vous rencontré, vous qui estes un membre de l'ost. il s'appelle salvatore.

l'un des gardes emmena les montures d'ulan, voya et géro alors qu'un troisième sortit de la salle des gardes qui jouxtait le pont levis. il semblait etre le chef des trois autres.

bonjour et bienvenu gentes dames et seigneur. le baron vous attend. j'espère que vous avez fait bonne route. vous pourrez vous reposer un peu, le temps que tout le monde arrive. après quoi, samarel à prévu quelque chose pour féter l'évènement.

puis voyant une jeune fille arriver essoufflée.

damoiselle ! c'est une honte de vous avoir fait traverser la campagne à pied. pour repartir, nous vous racompagnerons et vous prèterons une monture.

Invité

Un grand frison lancé au galop...des sabots qui martèlent d'une danse satanique les planches du pont- levis.... noir comme la nuit, l'animal mène sarabande effrénée. accompagné dans son pas d'armes par un grand loup noir, lui aussi!
La gracile silhouette qui monte le destrier, tient les rênes d'une main ferme... si Braque danse c'est qu'elle le veut bien.... l'étalon, le loup et elle ne font qu'une entité. synergie de noir vêtu avec pour elle seulement quelque touches de bleu safre... le bleu du saphir!
Ses sens en alertent lui font lever les yeux... et elle s'aperçoit que les gardes vont baisser la herse... alors, elle se couche sur l'échine du cheval... part d'un grand éclat de rire... : Yahhhhhh, yopeeeeee aller Braque ,,, on leurs montre...
Le mouvement qu'elle fait de la tête, contribue a faire glisser au sol, le petit calot dont elle est coiffée....une chevelure de renarde de part sa couleur, soyeuse, brillante apparaît! Les cheveux sont coupés... courts... le visage criblé de tâches de son.. la peau est de couleur or chaud...et dans le visage brillent les jades déchirés de mille rayons de soleil....Moment de pur bonheur...

La silhouette pourrai être celle d'un jeune page... Debrinska...puisqu'il s'agit d'elle. est vraiment heureuse du bon tour qu'elle vient de jouer aux gardes!

Dans le brouhaha... elle distingue un nom... un seul... jette les rênes a un laquais...

J'ai entendu le nom de Salvatore ...il est ici? et sans attendre la réponse, s'élance vers les écuries... Salvatore. SAAAAAAAAAALvatore...........

Elle avait quitté les terres de Grignan pour se faufiler vers les terres de son père.
L'Etoile aimait particulièrement la coté apaisant de cette région et avec le sourire, accompagnée de gardes elle avait fait la route dans la calèche, sa grossesse lui interdisant à présent de monter à cheval.

A l'approche du pont-levis, elle sourit et pencha la tête pour voir le chateau. Imposant et doux comme l'était son père ...
Mais que de monde au poste de garde !
Arrivés, elle descendit de la caleche avec l'aide d'un des gardes puis s'avança en reconnaissant bien du monde.

Bonjour à vous tous .

Sourire doux, démarche fluide elle avançait vers eux et alla déposer un baiser sur le front de nahona

bienvenue dans le monde d'Aristote et dans le nostre.

Messages : 5 Points : 5 Réputation : 0 Date d'inscription : 25/08/2009

Elvira faisait un tour de ronde sur les remparts du chateau de bourdeaux. En sa qualité de maistres d'armes, elle s'en faisait un devoir, surotut que du monde devait se presenter ce jour, pour fêter un heureux evenement.

Son tour s'achevant par la poterne principale, elle s'y arreta afin de regarder arriver les premiers, du haut des margelles de pierres de l'édifice.

Soudain au loin, une silhouette se fit menacante, un cheval lancait en plein galop, un canin surgit de nul part.

Ni une, Ni deux, Elvira descend au pas de course les escaliers glissant menant a la cour manquant par deux fois de se rmopre le coup (son grand âge commencçant a se faire sentir, elle n'avait plus la souplesse de ses jeunes années). Arrivées au bas de l'escalier, elle prie une lance sur le ratelier et sortie en trombe de la poterne et se posta devant le cavalier l'arme levée, prete a embrocher l'intrus, au momment ou ce dernier jetait ses rennes a l'un des pages de Bourdeaux et criant a tue tête le nom de Salador.

Elle reconnut a temps Debrinska, non sans avoir risqué d'embrocher la jeune femme

Invité

La vagabonde arriva la il y avait déjà du beau monde...
N'ayant que ses pieds comme fidèle compagnon pour la transporté...
Elle ce fit discrète au loin en regardant la foule...
Déjà en entrant dans l'église la vagabonde aurait crut arriver à une grande cérémonie de noblesse...
Un peu gêner la vagabonde regarde donc au loin les personnes qui s'embrasse et qui parlé sans un mot...
Puis elle ce présenta devant les gardes...

Messages : 250 Points : 318 Réputation : 4 Date d'inscription : 19/05/2009

Une missive reçue à son arrivée en Montélimar.
Une invitation de son grand père...

La demoiselle s'était donc reposée toute l'après midi pour être en forme. Et à son réveil ce fut plusieurs heures passées à se préparer.
Parfaite! Elle se devait d'être parfaite.
Samarel, le chainon manquant pour la jeune femme, son grand père, de son passé.
Elle se demandait inquiète s'il la reconnaitrait, bien que la ressemblance avec sa mère soit assez flagrante.

Et pour une fois, elle fit un effort, point de chevauchée, elle se fit mener.
Pour l'occasion ses boucles avaient été travaillées, ses joues avaient été pincées de longues minutes, sa robe avait été choisie avec soin.

Lorsqu'elle descendit de la charrette elle fut surprise de voir tant de monde, cherchant des yeux son aïeul.

Messages : 1 Points : 1 Réputation : 0 Date d'inscription : 26/08/2009

Bounette avait quitter l'Eglise Sainte Croix sans avoir pu approcher nahona pour la féliciter , elle espérait pouvoir le faire dans ces lieux.

Une fois le pied à terre elle se dépoussiéra en pestant après elle même de s'être vêtu de blanc .

Beaucoup de personne était déjà arriver et peu de visage familier . Un sourire lui vint en apercevant son amie Voya , elle se dirigea vers elle .

Messages : 7 Points : 9 Réputation : 0 Date d'inscription : 24/08/2009

le monde commençait à affluer et la cour était emplie de monde qui parlait fort, heureux de se retrouver pour une bonne occasion. les gardes, un peu dépassés par les évènements, n'eurent pas le temps de réagir à l'arrivée remarquée de debrinska. excedé par les frasques de la ténébreuse jeune femme, guillaume de marseille arriva devant elvira, le maistre d'arme de choc qui était aux cotés du baron depuis le début (à moins que ce ne soit lui qui soit à ses cotés) et d'une voix nasillarde tempéta sur debrinska.

maistre elvira ! c'est un scandale ! cette fois ci il faut faire quelque chose. on ne peut laisser debrinska mener comme elle le désire en la demeure du baron. je m'en vais de ce pas le chercher !!!

puis sans attendre la réponse, il monta dans le donjon. quelques minutes après, hilare, samarel était en bas.

Admin Messages : 54 Points : 94 Réputation : 1 Date d'inscription : 10/05/2009

samarel venait de descendre et vit avec joie le monde arriver. il alla d'une personne à l'autre, plein d'effusion pour chacune.

ulan ! content de voir que tu es bien arrivée. as tu fait bonne route ? c'était une cérémonie magnifique. nous avons maintenant une grande responsabilité en étant parrain et marraine. et de ce fait, nous sommes un peu de la même famille désormais.

hooo ! mais c'est notre ami géro ! tu es arrivé aussi. je n'ai pas eu le temps de te féliciter pour ta nouvelle charge royale à la messe. ce n'était ni le lieu ni l'heure. pour t'avoir vu à l'oeuvre lors de la visite de notre bon roy, je suis sur que tu feras un excellent fauconnier.

voya !!! comme tu as changé depuis la dernière fois que nous nous sommes vus. ça me fait plaisir de voir que tu es en forme. ça doit etre l'exercice de la garnison ça ! rien de tel pour avoir un corps fuselé !

puis il prit nahona dans ses bras et lui montra la batisse, derrière lui.

ma fillotte, te voilà chez toi. tu seras toujours la bienvenue ici. et je compte bien m'occuper de ton éducation aristotélicienne. ulan ne sera pas de trop... j'ai parfois un catéchisme défaillant.

deeb ! quelle bonne surprise. alors quelles sont les nouvelles ? tu tombes bien, je reçois. tu vas te joindre à nous. nahona vient de se faire baptiser.

sam flatta l'encolure de braque, fit signe aux gardes de s'occuper de tous les chevaux et alla serrer sa fille sur son coeur.

lady. j'espère que tu auras le temps de passer quelques jours ici avant de rentrer à grignan. et appolline aussi. d'ailleurs ou est elle ma petite fille ? ha ! la voilà ! moooooon dieu qu'elle a grandi ! mais ce n'est plus une petite fille ! c'est une belle jeune fille ! il va falloir que je surveille tous les jeunes coqs qui ne doivent pas manquer de tourner autour.

prenant appolline dans ses bras, il la regarda ensuite et lui pinça la joue affectueusement. sam regretta soudainement de ne pas avoir eu le temps de la faire sauter sur ses genoux plus souvent. fort heureusement, la jeune fille avait hérité des traits de sa mere et ne portait pas la bosse de son père.

elo ! comme je suis content que tu sois venu. lorsque j'ai entendu parler d'un éventuel départ de montélimar, je me suis dit que c'était bien dommage. je suis content que tu sois resté. j'espère que la présence de toutes ces personnes qui sont là et d'autres qui vont arriver vont te faire te décider à rester encore bien longtemps ici, meme si tu as l'ame vagabonde.

bounette ! sois la bienvenue à bourdeaux. nous n'avons jamais eu le temps de sympathiser mais je suis sur que demain ce sera chose faite ! j'espère que tu vas passer d'agréables moment. ici, point de dossiers de la maréchaussée. il n'y aura que feste et temps dédié au plaisir.

allez ! ceux qui veulent se désaltérer et se reposer un peu n'ont qu'à me suivre. bientot je vais vous exposer le programme. allons dans la grande salle. je vais faire mander à boire et quelque chose pour éponger ce qu'on ne manquera pas d'avoir bu.

Messages : 5 Points : 5 Réputation : 0 Date d'inscription : 25/08/2009

Elvira, la lance toujours pointée sur Debrinska, n'eut pas le temps de répondre au garde que celui-ci disparaissait déjà dans le donjon a la recherche du maistre de lieux.

Elle ne sut combien de temps elle resta ainsi, cela lui semblait irréel. Elle se rememora l'arrivée et les frasque d'alors de Debrinska a la caserne Montilienne, pensant que le caractére de cette jeune femme c'était quelque peu apaisé.

Ce fut le loup de Debrinska qui la ramena a la réalité, lui léchant la main basse qui tenait la hampe de la lance. Le rire tonitruant de Sam finit de la ramener au présent.

Elvira se fendit d'un large sourire envers Debrinska.

Et bien mon amie j'étais a deux doigts de....

Elvira ne termina pas sa phrase, le baron de Bourdeaux s'étant approché des deux femmes ,le reste des invités s'étant alors vivement écarté afin de ne pas se trouver pris dans la rixe qui avait bien faillit se produire.

Messages : 3 Points : 3 Réputation : 0 Date d'inscription : 27/08/2009

Alix avait pu se libérer et se rendit à l'invitation de son ami sam, et surtout pour féliciter la petite naho,

c'était la premiére fois qu'il se rendait dans un tel endroit et il était trés impressionné.

il arriva devant cette porte immense et resta devant sans bouger, attendant que les gardes veuilent bien ouvrir,

alix était vraiment impatient de pouvoir revoir tout ses amis, il avait entendu que deb était de retour, et il était trés content.......

mais c'était la journée de naho, et lui non plus n'avait pas pu la féliciter,

alix restait devant cette porte en espérant que les gardes n'était pas partis eux aussi à la fête.....

Messages : 1 Points : 1 Réputation : 0 Date d'inscription : 27/08/2009

Ayant reçue une invitation du vieil écossais, Lotus fit tout ce qu'elle pu pour se libérer au plus vite et rappliquer au domaine des Kennedy sur le dos de son frison.
En arrivant sur place, elle vit une silhouette. Plissement d'œil, il lui semblait le reconnaitre. Descend de sa bête et se rapproche, mais oui c'est bien lui...

Le bonjour Alix !
La boulasse ?

Elle porta les yeux sur la porte :

ça c'est de la porte... celui qui voudrait s'en prendre aux réserves de l'écossais va falloir qu'il se lève de bonne heure...

Messages : 3 Points : 3 Réputation : 0 Date d'inscription : 27/08/2009

alix vit lotus arriver sur sa monture,

il lui fit un sourire, ça faisait bien longtemps qu'il ne l'avait pas vu,

elle descendit et s'approcha de lui,

"bonjour à toi lotus , comment vas tu?

oui moi trés bien, la boulasse....."

il fit une bise à lotus....

" oui effectivement, faudrait être fou pour s'attaquer à cette forteresse, ça fait plaisir de te voir, j'ai hate de retrouver tout le monde, mon absence fut longue......."

Messages : 13 Points : 14 Réputation : -1 Date d'inscription : 24/05/2009

Voya entra dans la cour et confia le cheval de son fils à un homme. Puis elle n'eut pas le temps de dire merci qu'une femme sur un cheval débarqua comme une furie dans la cours en hurlant!

Voya se demanda ce qui se passait puis observa la réaction des gardes, elle se retint de rigoler et s'amusa beaucoup de voir cette scène. Samarel arriva, accueillant chacun des convives avec chaleur et bonne humeur. Sam ne manquait jamais de la complimenter sur sa silhouette, elle se dit que décidément elle ne devait pas être si vieille que ça, à moins que l'écossais est des problèmes de vue, ce qui était possible, après tout il était plus tout jeune... Bref, elle se dit que tout compliment était bon à prendre et elle l'accepta avec le sourire.

Bonjour mon cher ami, je suis ravie de te voir également et ravie d'être là.

Puis elle aperçut Nahona, la pauvre avait marché jusqu'ici, Voya la regarda:

Mais pourquoi ne nous as-tu pas dit que tu n'avais pas de cheval pour t'emmener? On t'aurait aider voyons, on t'aurait emmenée avec nous!

Alors qu'elle disait ça elle aperçut Bounette se diriger vers elle:

Bounette mon amie, comment vas-tu?

Messages : 2 Points : 2 Réputation : 0 Date d'inscription : 27/08/2009

De longues heures de voyage après son départ de Castres et voila Hélios aux portes du castel de Bourdeaux. Il avait traversé tout le royaumes pour répondre à l'invitation de son fillot. Voilà fort longtemps qu'il ne l'avait revu, depuis son départ rapide de Montélimar en fait, à la mort de la douce Chamoxa. Mais pour revoir une partie de son passé, Helios avait pris l'initiative de venir.

Voici donc le parrain de Samarel devant les portes du château et se dirigeant vers le poste de gardes pour s'annoncer:

"Bonjour Messires, pouvez vous annoncer l'arrivée de Heliorphee, dict Helios, parrain de Samarel. Je suis venu sous son invitation à participer à quelques jeux."

Admin Messages : 54 Points : 94 Réputation : 1 Date d'inscription : 10/05/2009

samarel était heureux de voir tout ce beau monde. chacun papotait gaiement en attendant l'arrivée des autres quand l'écossais remarqua les 3 gardes, revenus des écuries, qui venaient de remonter le pont levis et de baisser la herse.

Mais bougres de beugnots des alpages ! qui m'a engagé une bande de bras cassés pareils ! qui vous a dit de fermer les portes !

- mais... mais... mais seisei...mais seigneur

- mémé toi même salarié d'alcoolique ! tu ne vois pas que tout le monde n'est pas encore arrivé !

- mais c'est vous baron qui nous disez chaque jour que la sécurité est importante et qu'il ne faut jamais laisser ouvert !

- heu... oui bon ! et bien aujourd'hui c'est différent. j'ai une totale confiance en les gens que j'ai invité et vu le nombre que nous sommes, m'étonnerait qu'une bande de briconds vienne se frotter à nous en plein jour au milieu du bourg. réfléchissez un peu bon sang ! m'frez 200 pompes après avoir récuré les lattrines.

sam ordonna alors de rouvrir le dispositif et fut pris de saisissement. là. debout devant le pont levis, se trouvait son parrain, qu'il n'avait pas vu depuis longtemps. mais alors très très longtemps.

juste à coté, se trouvait lolotte, et alix, son sempiternel porte étendard et compagnon de combat, auprès de qui il tomba sur les hauteurs de die.

C'est la noel ! en vérité je vous le dis ! ce jour est un jour magnifique.

s'essuyant les yeux, l'écossais ajouta avec des trémolos dans la voix.

y'a de la poussière ici. ça pique.

soyez les bienvenu les amis !

Messages : 2 Points : 2 Réputation : 0 Date d'inscription : 27/08/2009

Par dela les murs résonnèrent une voix familière mais quelques peu courroucée. A en croire les bribes de mots, il semblerait que les portes auraient du etre ouvertes pour accueillir les invités. Mais quand celles-ci s'ouvrirent enfin, c'est un Samarel ému qui l'accueillit.

De suite, Helios approcha et fit l'accolade à son fillot:

"Ben alors Fillot, ému de me revoir on dirait. J'ai décidé de venir pour te rendre visite surtout que cela faisait trop longtemps que nous ne nous sommes pas vu. Je t'ai apporté un petit quelque chose pour nos retrouvailles, et je pense que cela va te plaire."

Il sortit alors une boite qui refermait un magnifique kilt écossais, moitié laine de mouton, moitié plumes de flamands roses, mais aussi une boite de bois avec de petits trous dedans.

"Voici un kilt spécialement fait pour toi mon petit, ainsi qu'un petit flamand rose de la dernière couvée. Je sais que tu aimes les animaux. D'ailleurs où est Richard?"

Messages : 12 Points : 21 Réputation : 0 Date d'inscription : 26/08/2009

Je me fout que nous soyons déjà au pas ! Ralentissez l'allure ou je vous fait descendre en cabane avec un bout de pain sec et un pichet de flotte ! A moins que vous ne préfériez que je rende sur vous magnifiques chausses en velours !

A l'arrêt sur le bord de la route, monseigneur Nufilen encore plus verdâtre que ses armes, était à deux doigts de cracher ses entrailles dans l'accotement, ce nouveau cocher était décidément vraiment trop véloce, voila qu'il faisait aller les chevaux au trot ! Au trot ! Le jeune archevêque ne se s'était jamais bien senti en carrosse, il faisait d'ailleurs les voyages à Rome en cheval, mais parfois, une certaine étiquette devait être respectée. Il regarda en grimaçant la porte ouverte qui l'attendait, il faisait chaud, pas très chaud, mais trop chaud pour un montagnard maladif. Il regarda son cocher à nouveau. Et pointa un doigt inquisiteur et fébrile sur lui.

Armand...

Anatole Monseigneur...

Bien Antoine, je vais remonter dans ce carrosse et vous allez me conduire à Bourdeaux, mais faites attention, si je sens un début de trot, un pas un peu rapide, un petit rien, ça va aller très très mal pour vous...

Sur ces mots il entra dans la coche, même à l'arrêt, cela lui provoquait des haut-le-cœur, il prit sa tête dans ses mains et pria tous les saints connus pour qu'il n'y ai pas de catastrophe sur les derniers lieux...

Nufilen remercia un millier de fois le Seigneur quand enfin, il s'immobilisa devant l'entrée du domaine de Samarel, le cocher descendit pour ouvrir la porte, et se la prit dans l'épaule, le prêtre ne l'avait pas attendu. Il dépila sa barrette mauve et la coiffa, il portait une soutane noire liserée du même violet que sa ceinture en soie. Le cocher, devenu valet sortit deux boite de la coche, une petite et une plus grosse, Nufilen les pris.

Merci Alphonse...

Anatole Monseigneur...

Anatole... Rentrez au palais avec Bassachaux et le carosse, laissez moi Siroco et de quoi le monter, je rentrerais à cheval.

Le cocher monta à sa place et fouetta, en direction des écurie, ou il allait laisser le cheval de Nufilen, ce dernier souriait béatement en voyant l'engin du diable qu'est son carrosse s'en aller... L'une des boîtes contenait la crosse de Nufilen, en plusieurs morceaux que l'on pouvait assembler et l'autre un présent pour la baptisée et un pour l'hôte. Nufilen, bien chargé, cherchait des yeux une personne qui pouvait lui indiquer le lieux de la sotterie tout en avançant vers le pont levis... Il ne doutait pas que l'on viendrait bien vite le décharger et l'accueillir.

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