Domaines de la famille Kennedy en Royaume de France
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Domaines de la famille Kennedy en Royaume de France

Au sein du Lyonnais Dauphiné, des membres du Clan Kennedy se sont établis et ont prospéré. Voici leurs demeures ....
 
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 [Pensées et lettres] Mémoires d'un homme

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Guidel

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MessageSujet: [Pensées et lettres] Mémoires d'un homme   [Pensées et lettres] Mémoires d'un homme EmptyDim 1 Nov - 23:55

Chapitre 1: Faran

Guidel a écrit:
[Des dortoirs jusqu'aux écuries]

*Immergé dans ses pensées, ses souvenirs, Guidel traversait les couloirs pour rejoindre son destrier.*

Vanille... Cheval de bataille, blanche comme la neige, l'Andalouse avait connu tant et tant de combats, tant de parades, tant de chevauchées sur les routes de France. Digne destrier de Fnor, ancien seigneur des lances de Briançon, elle avait accompagné les derniers instants de cet ami, juste avant qu'il ne rejoigne Aristote, juste avant qu'il ne lègue sa monture au tout jeune homme d'armes Guidel, de la garnison de Briançon.
Vieillissante, la tendre compagne avait achevé sa route au pied des remparts de Rennes, quelques années plutôt, tombée sous les flèches bretonnes, le jour même où le Chevalier Deny, alors Maistre de Guerre, avait lui aussi péri, vaillament, permettant sans doute à nombre de fils de la Licorne d'être encore debout en ce jour...

Guidel ne pouvait s'empêcher de penser à la belle jument, si douce et affectueuse, qui avait accompagné ses débuts de cavalier, et l'avait porté sur les routes au moment de son entrée à la Licorne. Quelle perte, quel déchirement sa mort avait-elle provoqué. Vanille, Vanille qui en ce jour d'automne naissant sur le ciel gris de Normandie ne le soutiendrait pas pour ce nouveau cour, ce nouvel apprentissage.

*La porte des écurie tirée, la lumière blafarde du jour pénètre dans l'allée des écuries.*

Le baron avait eu énormément de mal à la remplacer, devenu soudain, sans sa compagne de tous les voyages, un bien piètre jouteur et un morose voyageur. Passant d'une monture à l'autre, telles ce grand hongre gris au caractère placide, vouant à son maître une affection dont Guidel ne voulait même pas, c'est en Faran que ce dernier s'était retrouvé.

*Pas dans l'allée vide, le silence perturbé par moment par le bruit d'une monture qui s'ébroue ou soupire de voir ainsi sa quiétude perturbée par l'intrus. Les pas s'arrêtent devant une stalle. Sur cette stalle, un cheval noir de jai qui, déjà, s'imagine en train de tancer vertement le palefrenier venu lui rendre visite.*

Faran. Qu'était-il donc arrivé à ce cheval? Etait-il né ainsi ou était-ce la main de l'homme qui avait fait de lui ce qu'il était désormais? Leur rencontre s'était produite en Bretagne. Après une longue convalescence et alors que l'écuyer de la Licorne s'était attardé en ces terres bretonnes ravagées par la guerre, Guidel avait rencontré l'infortuné propriétaire d'un relais de chevaux. En effet, celui-ci s'était retrouvé propriétaire d'un animal démoniaque, à l'âme aussi noire que la robe. Une bête magnifique, au port fier et au poitrail puissant, qui meurtrissait autant qu'il le pouvait quiconque tentait de l'approcher. Selon les dires de l'homme, le cheval aurait même massacré un de ses précédents propriétaires, un vendeur de chevaux un peu trop démonstratif dans ses corrections. Guidel, intrigué, avait racheté l'animal pour quelques écus.

*La main s'approche de la porte pour ouvrir la porte coulissante du box et déjà les dents du cheval se précipitent à sa rencontre... Bruit sourd et mat. Hennissement. C'est un poing ganté sur les naseaux que Faran aura reçu. Guidel feint l'étonnement et lui adresse sur un ton enjoué.

Bonjour mon vieux.
Alors, tu ne me distingues plus d'un vulgaire garçon d'écurie? Tu sais pourtant qu'à ce jeu-là je suis toujours gagnant.

Le frison soupire bruyamment. L'errant rit, amusé, et pénètre dans le box, passant une main caressante sur l'encolure puissante de l'étalon avant de commencer à l'étrier.*

Le cheval avait été difficile à apprivoiser, il en avait fallu, de la patience, pour que Guidel parvienne à même l'approcher. Puis, un jour, tout s'était éclairé. C'est en observant le cheval de loin que le baron avait découvert son secret: l'animal était d'une intelligence rare. Il n'était qu'une chose que Faran aimait autant que de faire du mal à son prochain: être admiré et craint. Le lendemain, Guidel avait fait administrer à Faran tous les soins qu'il était possible d'imaginer... Nouveaux fers, robe méticuleusement lustrée, sabots consciencieusement graissés, crinière impeccablement taillée. L'écuyer lui-même avait revêtu son armure dauphinoise parfaitement entretenue, la lourde cape bleu marine flottant au vent, tandis qu'à son bras il portait un écu à ses propres couleurs. Ce jour-là, Faran comprit qu'aucun autre cavalier ne lui donnerait davantage l'occasion de se pavaner. Plus tard, il découvrit également que, s'il ne pouvait faire de mal à son maître, il était sur terre des hommes -et plus rarement des femmes- sur lesquels il pouvait assouvir toute sa fureur bestiale sans que son maître ne l'en empêche, que du contraire. Et Faran connut ainsi son bonheur. Parades, joutes et combats, tout cela il l'affectionnait, et pour cela, il soutiendrait son cavalier jusque dans les enfers.

*Guidel, perdu dans ses pensées, avait achevé de brosser l'étalon et l'arnacha rapidement. Il le mena ensuite par les rennes vers la sortie des écuries puis, une fois les lourdes portes passées, ramena les rennes par-dessus l'encolure et enfoucha sa monture, avant de gagner la lice au petit trot, traversant ainsi la cour de la forteresse et passant le pont-levis.

[Lice du haras Taureau Furieux]

Arrivé sur place, vérifiant la position de la bâtarde à son côté, qu'il avait ceinte auparavant sans même y penser, par habitude, il salua sobrement les écuyers qui étaient déjà sur place d'une inclination de la tête sans mot dire, adressant un sourire léger à la maître d'armes.

Guidel a écrit:
Citation :
Nom de la monture : Vanille
Race : Andalous
Robe : Blanche
Sexe (jument/étalon/hongre) : jument
Age de la monture :16 ans
Nom du propriétaire : Guidel

Taille : 1m65
Régime alimentaire particulier : Aucun
Blessure(s) à soigner : Aucun
Maladie(s) : Aucun
Votre cheval a-t-il tendance à mordre ou ruer ? : au contraire, cheval particulièrement affectueux.
Remarques : Vieille jument, entraînée pour la bataille et aillant appartenu à Fnor, de Briançon. Léguée à Guidel, alors homme d'armes de l'Ost dauphinois.

Morte au pied de Rennes. Repose en paix.

Guidel a écrit:
Trop occupé, l'écuyer se rendit seulement compte à son arrivée que Vanille figurait toujours au registre et qu'il n'avait pas prévenu de son changement de monture, ayant directement placé Faran sur la stalle prévue pour vanille. Il modifia donc la fiche de la vieille jument morte au combat et rédigea celle de Faran.

Citation :
Nom de la monture : Faran
Race : Frison
Robe : Noir de jais
Sexe (jument/étalon/hongre) : étalon
Age de la monture :4 ans
Nom du propriétaire : Guidel

Taille : 1m85
Régime alimentaire particulier : Aucun
Blessure(s) à soigner : Aucun
Maladie(s) : Aucun
Votre cheval a-t-il tendance à mordre ou ruer ? : Oui. Il semblerai que Faran ait comme projet de laisser la marque de ses dents sur les palefreniers de tout le royaume de France, aussi s'en donne-t-il à coeur joie dès que l'occasion lui en est donnée, lors des joutes tout particulièrement. C'est sa hargne qui fait de lui un bon cheval de combat et de joutes.
Remarques : Recueilli du côté de la Bretagne, racheté à un maître qui le considérait comme indomptable, cheval très intelligent. Adore par-dessus tout se pavaner en public, aime beaucoup les combats et les joutes. Cheval peu sociable voire même cruel, a tendance à mordre et à ruer sur tout ce qui ressemble à la gent humaine.
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Guidel

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MessageSujet: Re: [Pensées et lettres] Mémoires d'un homme   [Pensées et lettres] Mémoires d'un homme EmptyLun 2 Nov - 0:00

Chapitre II: Hoegaarden

Une troublante révélation...

18 octobre 1457
Citation :
A Adrienne de Hoegaarden, Vicomtesse de Menin, Dame de Gavre et de Vinderhoute,


Ma Sœur,


J’ai appris ce jour que la paternité va bientôt frapper à ma porte et que l’enfant qu’Antlia porte depuis plusieurs mois va bientôt voir le jour en notre hostel à Lyon. De plus, nos noces seront très bientôt célébrées en Grignan, des noces après lesquelles notre famille partagera tout, nom, titres, fiefs et biens.


Tandis que je m’apprête à prendre la route pour rallier la ville au plus tôt, l’heure est venue pour moi de te faire part de troublantes révélations que j’ai eues il y a quelques mois et pour lesquelles il m’a fallu faire des recherches approfondies…


Je suis né en la ville de Gand lors du rude hiver de l’an mil quatre-cent vingt-cinq. Ma mère, alors roturière et fille de tisserand, me donna naissance dans un foyer modeste mais propre et bien entretenu. Durant ma prime enfance, jamais je n’eus manqué de quoi que ce soit, j’étais vêtu correctement et mangeais à ma faim. C’est à cette époque que je rencontrai pour la toute première fois le Sire Theobald, je devais alors avoir cinq ans.


Je ne sais de quoi ma mère lui parla ce jour-là, mais je me souviens aujourd’hui encore de l’œil brillant avec lequel il me toisa après ces mots. Le seigneur me fit alors appeler à la boutique à chaque fois qu’il passait prendre des commandes chez mon grand-père à partir de ce jour-là.


Le jour de mes sept ans, il fit son apparition au beau milieu de ma fête d’anniversaire et m’offrit une livrée toute d’azur, brodée d’un écusson bleu avec une couronne d’or et une bande blanche à pois noirs accolée juste au-dessus, c’est du moins le souvenir que j’en garde. Le lendemain, une charrette vint me chercher et je fus envoyé au château.


Lors de ma vie au château, où je servis comme page, j’en appris beaucoup plus sur les raisons qui m’avaient amené là. Je fus éduqué, j’appris à lire, écrire, calculer et à soigner les chevaux. Les cuisines, lieu privilégié par les laquais, pages, et servantes de tous acabits rapportaient tous les commérages de la propriété m’apportèrent la plus fascinante et la plus terrible des révélations que j’avais connus dans ma jeune existence. J’étais le fils du seigneur Théobald. Tout d’abord, je ne compris pas, puis petit à petit, je vins à porter sur mon protecteur un regard très différent. Je passai par plusieurs périodes de révolte, d’incompréhension et de manque d’amour avant de me résigner à mon sort. C’est à cette époque que ma mère décéda, victime des guerres civiles entre les Flamands partisans alors de l’Angleterre et la France.

C’est également à ce moment que le maître des lieux, Théobald, prit une épouse, eut un autre enfant et que ma vie se mit petit à petit à changer. J’avais douze ans.


D’abord, on m’empêcha de suivre les cours de maniement de l’épée en bois et d’équitation avec les autres jeunes garçons. Ensuite, on me dispensa de prendre soin des chevaux et on affermit mes leçons d’écriture, de lecture et on élargit mes temps de prière. Je fus également choisi par le confesseur et chapelain du château comme enfant de cœur. On m’enseigna, encore et encore, bien que je subis plus que je n’appris durant les longues heures de prêche et de théologie que l’homme d’église me dispensait.


Lors de mes seize ans, alors qu’une petite fête avait été organisée en mon honneur dans les cuisines du château, mon père fit irruption aux côtés du chapelain et ils m’annoncèrent de concert leurs projets : la semaine suivante, je serais envoyé à l’abbaye de Tastevin pour y parfaire mon enseignement religieux et devenir homme d’église, selon le projet que Sire Theobald avait formulé pour moi. Je n’attendis pas jusque là.


La nuit même, mon baluchon était fait, contenant le peu de biens que je possédais, c'est-à-dire quelques maigres écus récoltés à l’occasion de quelque course pour le service de personnes fortunées, des cadeaux d’anniversaire et autres. C’était en 1446.


En septembre 1450, j’arrivai à Briançon, l’autre bout du royaume de France, où je m’établis comme berger, sous le nom de Guidel. En hivers 1454, suite à un incendie qui ravagea près de la moitié de la ville et un peu plus tard à la disparition de celle qui portait mon enfant, Gazael, j’entrai dans l’ost du Lyonnais-Dauphiné. De fil en aiguille, mes connaissances m’aidèrent à gravir rapidement les échelons et fournir une aide précieuse au Grand Duché du Lyonnais-Dauphiné. C’est ainsi que Freyelda la Pieuse me repéra et fit de moi son vassal et que je devins Guidel de Mont-Dauphin. Un peu plus tard, je devins héraut en mon duché et me fis ennoblir au titre de baron pour les services armés rendus à ma province.


Le reste de l’histoire, tu la connais.


Me reste à présent à te dévoiler le pan obscur de cette histoire, celui qui m’a amené à t’écrire cette lettre, celui pour lequel j’hésite depuis de nombreux mois. Mon nom. Je me prénommais à ma naissance Guy. Bien que je ne me souvienne pas exactement à quel moment je fus reconnus comme tel, au château on m’appela Guy de Hoegaarden, ou plutôt Guy, bâtard de Hoegaarden. Et enfin, cet enfant que je vis presque naître, cet enfant que j’entrevis au détour des couloirs ou dans la grand-salle, siégeant aux côtés de mon père et maître, c’était toi, Adrienne de Hoegaarden, ma sœur.


Je n’oublie toujours pas notre première rencontre, autour d’une lice et bardés de fer, j’avais à l’époque l’instinct de déjà te connaître. De même, ta bannière flottant m’inspirait également quelque chose… Ce petit écusson brodé sur ma livrée tout au long de mon séjour sur la propriété familiale.


Je ne veux pas ni n’ai pas l’intention de te prendre ce qui te revient de droit, j’imagine qu’il te faudra un certain temps pour avaler cette nouvelle. Mais je pense qu’au fond de moi, rien ne changera dans cet amour fraternel qui nous unit depuis que tu as rejoint la Licorne. Je voulais simplement que tu saches qui je suis et que ton frère est en vie, si tu avais eu vent de mon existence auparavant. Si tu le veux, tu me ferais un immense honneur en acceptant que je porte le nom qui me revient par mon ascendance ainsi que le blason des Hoegaarden, brisé selon la coutume pour ma bastardise.


Si tu n’en as pas la force ou l’envie, ne me réponds pas, et je demeurerai Guidel de Mont-Dauphin, sans origine ni ascendance connue et le secret demeurera gardé par nous seuls.


Avec tout mon espoir,


Guy de Hoegaarden alias Guidel de Mont-Dauphin.


26 octobre 1457
Adrienne a écrit:
Citation :
A Guidel ... toi mon frère !

Que ce jour soit à jamais béni et gravé dans mon histoire, celui où j'apprends avec un mélange de joie et de stupéfaction le lien ineffaçable qui nous unit désormais.

Bien qu'ayant reçu une éducation correcte, n'ayant jamais manqué de rien d'un point de vue matériel, j'ai grandi dans une profonde solitude qui se voit brisée en ce jour par l'annonce de cette incroyable nouvelle. Ainsi ce vaillant cavalier qui m'a fait mordre la poussière à St Omer et contre qui j'ai juré d'avoir ma revanche, celui qui par la suite est devenu mon frère de coeur à La Licorne, devient aujourd'hui même et à jamais mon frère de sang.

Toi mon frère, j'espère trouver en toi le confident et le protecteur que je n'ai jamais eu. Sois certain qu'en retour, tu pourras compter sur ma fidélité sans faille et que je veillerai sur toi et la famille que tu es en train de construire, de la même manière que tel un ange venu du Ciel, tu m'as assuré protection durant le voyage me menant à Lyon.

Sache que mes pensées t'accompagnent à l'heure où je couche ces lignes et que je prie pour vous trois. Puissent les vicissitudes de cette sordide guerre vous épargner et que le Très-Haut vous ramène prochainement à moi pour nous permettre de rattraper tout ce temps perdu durant ces longues années d'ignorance.

Mon seul regret est d'en savoir si peu de toi et inversément, j'aspire à mieux te connaître et à ce que tu m'en apprennes davantage de ce père que je n'ai hélas jamais connu. Je te présenterai quant à moi mon fils Amaury âgé de 8 ans dès qu'il aura terminé sa formation de maître brasseur en Artois ainsi que mon lointain cousin normand, le Vicomte Sardanapale.

J'ai toujours pensé à ma profonde tristesse être la seule survivante de la lignée des Hoegaarden. C'est donc avec honneur et une immense fierté que je t'autorise à toi et ta descendance que je cuide nombreuse à porter haut le nom et les armoiries de notre défunt père.

Sois dès lors assuré de mon attachement et de mon affection fraternelle que rien ni personne ne pourra rompre.

Adrienne, ta soeur.

Citation :
FAMILLE DE HOEGAARDEN


[Pensées et lettres] Mémoires d'un homme Hoeg

Blasonnement : d'azur à la couronne d'or et au chef d'hermine.




  • Prime génération

    Feu Willem d’Avesnes* (1286-1337) Comte de Hainaut
    = épouse feue Jeanne de Valois* (1294-1352) - Mariage célébré en 1305
  • Seconde génération

    De l'union légitime de Willem et de Jeanne

    1. Feu Willem II d’Avesnes * (1317-1345) Comte de Hainaut
    = épouse feue Jeanne de Brabant * (1322-1406) - Mariage célébré en 1334
  • Branche illégitime

    • Seconde génération

      De l'union illégitime de Willem II d’Avesnes et Clothilde de Hoegaarden

      1.1 Feu Wolfart * de Hoegaarden (1343-1390)
      = épouse feue Adélaïde von Borsselen - (..../1395) - mariage célébre en 1370 -
    • Tierce génération

      De l'union légitime de Wolfart et d'Adélaïde

      1.1. Feue Jeanne de Hoegaarden* (1371-1420)

      1.2. Feu Arnould de Hoegaarden *, (1372-1430)
      = épouse feue Adrienne de Gavre * (1376-1415) - Mariage célébré en 1397
    • Quarte génération

      De l'union légitime d’Arnould et d'Adrienne

      1.2.1. Feu Théobald de Hoegaarden * (1400-1431)
      = épouse feue Léonide de Hauteville * (1411-1430) - Mariage célébré en 1429
    • Quinte génération

      De l'union légitime de Théobald et Léonide

      1.2.1.1 Adrienne (1430/....), de Hoegaarden (..../....) Vicomtesse de Menin (16ème Comtesse de Flandres), Dame de Gavre (anoblie par Telya de Saint Ange, Comtesse de Flandres), Dame de Vinderhoute,
      Baptisée le 1er octobre 1454 par le père Antesite, curé de Gent

      = épouse feu Paracelse de Hohenheim - Décédé le 15 février 1456 à Gent
      Mariage célébré le 3 décembre 1454 par Antesite à Gent

      • Quinte génération


      De l'union illégitime de Théobald de Hoegaarden et Clothilde de Gand

      1.2.1.2 Guy de Hoegaarden, dict Guidel (1425/....), baron de La Salle (Duché du Lyonnais-Dauphiné), Seigneur de Mont-Dauphin (Duché du Lyonnais-Dauphiné)
      Baptisé à Briançon, le 24 août 1455, par le père Philipe Orier Bellecourt, dit Pobelcourt.
      [Pensées et lettres] Mémoires d'un homme Hoegguid



    • Sixte génération

      De l'union légitime d’Adrienne et de Paracelse

      1.2.1.1.1 Amaury * de Hohenheim




    </LI>




Chef de famille : Adrienne
Héritier Légitime :



*N’a pas existé ig

Amendée le 24 octobre 1457 - ajout de Guy de Hoegaarden par Phylogène
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